Bonne St-Jean Baptiste!Pour célébrer cette journée, quoi de mieux que d'écouter un des albums les plus étrange de tout le répertoire québécois.
Laissez-Nous Vous Embrasser Où Vous Avez Mal est l'étrange rencontre d'un des poète les plus rebelle de sa génération avec un artiste de synthétiseur des premières heures.
L'album tourne autour de la poésie trash de Claude Péloquin. Péloquin est une poète reconnue mais il sera jusqu'à la fin des temps reconnu entre autre pour avoir été le compositeur de la chanson Lindberg de Robert Charlebois, première chanson québécoise populaire avec des sacres. On le retrouve également dans le légendaire film La Nuit de la poésie 1970 de Jean-Claude Labrecque, c'est le mec frisé un peu plus gelé que la moyenne qui est mort de rire... Péloquin s'est donc enfermé avec le musicien Jean Sauvegeau et sa "machine à Sauvageau" (immense synthétiseur maison que l'on voit dans la pochette) afin d'illustrer avec des sons électroniques sa poésie rebelle. On retrouve donc notre poète pas très à jeun réciter ses poèmes alors que le musicien tente du mieux qu'il peut de mettre vie à ses texte, par exemple en faisant des sons de train ou de foule avec son synthétiseur. Il y a des pièces plus écoutable que d'autres, dont la supebe pièce instrumentale Black Spaghetti, et d'autres plus gossantes comme l'inoubliable Mama Vagina, mais le tout forme un des albums les plus étrange et les plus éclaté jamais enregistré dans notre petite province. Pour leur part, les morceaux Monsieur l'indien et Sterelization sont des chansons cultes de l'underground québécois. Les French B ont d'ailleurs repris Monsieur l'indien sur leur album Légitime démence.
Voici donc un album étrange qui passe du rock au traditionnel en passant par les comptines pour enfant et à des redoutables expérimentations électroniques tout en constituant un album ayant sa propre logique, suivant une poésie redoutable... Une œuvre éclatée à l'époque où les québécois s'enlisaient dans le peace and love et les guitares en terre cuite...
http://www.mediafire.com/?nn3yqzm2hw1
Voici un vidéo filmé par un de mes amis de Claude Péloquin récitant Monsieur l'indien lors du spectacle de la St-Jean l'an passé... (On notera qu'ils réclament Mama Vagina...)
L'album tourne autour de la poésie trash de Claude Péloquin. Péloquin est une poète reconnue mais il sera jusqu'à la fin des temps reconnu entre autre pour avoir été le compositeur de la chanson Lindberg de Robert Charlebois, première chanson québécoise populaire avec des sacres. On le retrouve également dans le légendaire film La Nuit de la poésie 1970 de Jean-Claude Labrecque, c'est le mec frisé un peu plus gelé que la moyenne qui est mort de rire... Péloquin s'est donc enfermé avec le musicien Jean Sauvegeau et sa "machine à Sauvageau" (immense synthétiseur maison que l'on voit dans la pochette) afin d'illustrer avec des sons électroniques sa poésie rebelle. On retrouve donc notre poète pas très à jeun réciter ses poèmes alors que le musicien tente du mieux qu'il peut de mettre vie à ses texte, par exemple en faisant des sons de train ou de foule avec son synthétiseur. Il y a des pièces plus écoutable que d'autres, dont la supebe pièce instrumentale Black Spaghetti, et d'autres plus gossantes comme l'inoubliable Mama Vagina, mais le tout forme un des albums les plus étrange et les plus éclaté jamais enregistré dans notre petite province. Pour leur part, les morceaux Monsieur l'indien et Sterelization sont des chansons cultes de l'underground québécois. Les French B ont d'ailleurs repris Monsieur l'indien sur leur album Légitime démence.
Voici donc un album étrange qui passe du rock au traditionnel en passant par les comptines pour enfant et à des redoutables expérimentations électroniques tout en constituant un album ayant sa propre logique, suivant une poésie redoutable... Une œuvre éclatée à l'époque où les québécois s'enlisaient dans le peace and love et les guitares en terre cuite...
http://www.mediafire.com/?nn3yqzm2hw1
Voici un vidéo filmé par un de mes amis de Claude Péloquin récitant Monsieur l'indien lors du spectacle de la St-Jean l'an passé... (On notera qu'ils réclament Mama Vagina...)
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